Activité ORL Médicale
En ce qui concerne la pathologie du nez et des sinus nous pratiquons
Un bilan clinique par vidéo endoscopie
Vidéoendoscopie
L'exploration des fosses nasales est le prélude à la prise en charge de toute pathologie rhinosinusienne.
Moyen d'investigation incontournable aujourd'hui pour tout ORL en consultation, l'endoscopie nasale, après un interrogatoire précis et une rhinoscopie antérieure au spéculum, permet dans la plupart des cas de différencier un problème architectural d'un problème fonctionnel.
Au sein des pathologies fonctionnelles, cet examen permet de préciser le type d'atteinte inflammatoire et la topographie (localisée ou diffuse). L'endoscopie nasale peut être réalisée avec une fibre optique souple et/ou avec une optique rigide, et plus récemment le vidéo-endoscope permet d'obtenir une image numérique.
Cet examen peut se dérouler sous anesthésie locale associée à une vasoconstriction (mèches imbibées ou pulvérisation de xylocaïne 5 % à la naphazoline) afin d'améliorer le confort du patient et faciliter le déplacement de l'optique.
Le nasofibroscope est constitué de fibres optiques souples, d'un diamètre de 2,1 à 3,7 mm, sans canal opérateur et muni d'un béquillage à 90°
Moyen d'investigation incontournable aujourd'hui pour tout ORL en consultation, l'endoscopie nasale, après un interrogatoire précis et une rhinoscopie antérieure au spéculum, permet dans la plupart des cas de différencier un problème architectural d'un problème fonctionnel.
Au sein des pathologies fonctionnelles, cet examen permet de préciser le type d'atteinte inflammatoire et la topographie (localisée ou diffuse). L'endoscopie nasale peut être réalisée avec une fibre optique souple et/ou avec une optique rigide, et plus récemment le vidéo-endoscope permet d'obtenir une image numérique.
Cet examen peut se dérouler sous anesthésie locale associée à une vasoconstriction (mèches imbibées ou pulvérisation de xylocaïne 5 % à la naphazoline) afin d'améliorer le confort du patient et faciliter le déplacement de l'optique.
Le nasofibroscope est constitué de fibres optiques souples, d'un diamètre de 2,1 à 3,7 mm, sans canal opérateur et muni d'un béquillage à 90°
Un bilan de l'obstruction nasale par rhinomanométrie
La rhinomanométrie est un examen qui permet de mesurer la perméabilité nasale (circulation de l'air).
Elle mesure la résistance des fosses nasales en fonction du débit d'air, de la pression et du type d'écoulement. Il permet de mettre en évidence une obstruction nasale (qui pourrait être responsable par exemple d'apnée du sommeil).
L'examen peut être associé à un « test de provocation nasale » qui permet d'évaluer la sensibilité spécifique de la muqueuse nasale à différents allergènes (en cas de rhinite allergique par exemple).
Elle mesure la résistance des fosses nasales en fonction du débit d'air, de la pression et du type d'écoulement. Il permet de mettre en évidence une obstruction nasale (qui pourrait être responsable par exemple d'apnée du sommeil).
L'examen peut être associé à un « test de provocation nasale » qui permet d'évaluer la sensibilité spécifique de la muqueuse nasale à différents allergènes (en cas de rhinite allergique par exemple).
Un bilan allergique par des tests cutanés
On utilise habituellement les Prick-tests avec une batterie d'une dizaine de tests réalisés avec des mélanges d'allergènes
Des pollens de graminées, pollens d'arbres, pollens d'herbacées, acariens, mélanges de moisissures, poils et phanères de chats et de chiens, témoin négatif et un témoin positif.
Ces allergènes peuvent être complétés par ceux suggérés par l'interrogatoire.
Des pollens de graminées, pollens d'arbres, pollens d'herbacées, acariens, mélanges de moisissures, poils et phanères de chats et de chiens, témoin négatif et un témoin positif.
Ces allergènes peuvent être complétés par ceux suggérés par l'interrogatoire.
Un bilan d'éventuelles réactions pulmonaires associées par une exploration fonctionnelle respiratoire
La spiromètrie
La spiromètrie consiste à faire respirer le malade par la bouche alors que le nez est pincé. On demande au patient de respirer de différentes manières : normalement, en inspirant fortement, (remplir ses poumons d'air) et en expirant fortement (vider l'air des poumons).
Les différentes mesures obtenues permettent de tracer un graphique que l'on appelle courbe débit-volume. Cet examen détecte s'il existe un syndrome obstructif qui se traduit par une diminution de la quantité d'air qui sort des poumons (on parle alors de débit expiratoire abaissé). Cet examen ne dure que quelques minutes.
Les valeurs obtenues sont les suivantes :
Les différentes mesures obtenues permettent de tracer un graphique que l'on appelle courbe débit-volume. Cet examen détecte s'il existe un syndrome obstructif qui se traduit par une diminution de la quantité d'air qui sort des poumons (on parle alors de débit expiratoire abaissé). Cet examen ne dure que quelques minutes.
Les valeurs obtenues sont les suivantes :
- Le volume courant correspond au volume d'air qui est inspiré puis expiré à chaque mouvement respiratoire, il est environ 0,5 L.
- Le volume de réserve inspiratoire correspond au volume maximum d'air qu'un individu peut inspirer en plus de l'inspiration normale de repos, c'est-à-dire de la respiration habituelle sans forcer.
- Le volume résiduel représente le volume d'air qui reste dans les poumons après avoir effectué une expiration forcée, c'est-à-dire avoir vidé les poumons de tout l'air qu'ils contiennent.
- La capacité vitale représente le volume courant, c'est-à-dire les volumes de réserve inspiratoire et inspiratoire.
- La capacité totale pulmonaire est la somme de la capacité vitale et du volume résiduel.